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Peut-être que vous n'avez pas encore fait beaucoup de scène, et que vous ne savez pas exactement comment cela s'organise avec un ingé-son sur place. Rassurez-vous, dans cette vidéo, je vais vous montrer 2 scènes différentes…
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Avant de lire cet article, ami lecteur, il faut savoir que la vidéo ci-dessous donne les idées principales mais aussi et surtout des explications avec des démonstrations sur écran.
Vous avez enregistré votre tube ?
Maintenant, il est temps de tourner votre clip. La vidéo est incontournable, c’est le moins qu’on puisse dire.
Mais déjà là, il y a une erreur. Une faute dans votre organisation.
On pourrait croire au départ qu’il faut se concentrer exclusivement sur l’enregistrement d’abord, et réfléchir au clip ensuite.
Je vous conseille d’avoir une idée précise de votre clip le plus tôt possible. Souvent même avant l’enregistrement en studio (ou en home-studio).
Pourquoi ?
Parce qu’il y a plusieurs types de clips vidéo :
pendant l’enregistrement en studio,
live face au public,
live mais dans des lieux insolites (dans un parc ou à la plage, par exemple),
clip qui raconte une histoire comme un court métrage,
une combinaison judicieuse des types précédents.
Vous comprenez maintenant que si vous choisissez un clip avec des images de studio, vous avez intérêt d’avoir prévu votre coup à l’avance.
Dans cet article, nous parlerons surtout des situations studio et live. Le court métrage étant plus traditionnel, il se réalise comme n’importe quel autre film. Il faudra toutefois être vigilant quant à la durée finale, contrainte obligée de votre clip.
Croyez-moi : il vous sera sûrement plus difficile d’enlever des plans que d’en rajouter !
Vos prises de son sont terminées ? Ça y est, vous êtes prêt pour le mix.
Vous êtes devant votre ordinateur, et là les ennuis commencent.
Que devez-vous faire ?
Par où commencer ?
Oh, vous avez déjà certainement fait quelques petits réglages par-ci par-là. Par exemple avec vos potards de volume et les balances droite/gauche.
Et après ?
Vous avez peut-être l’impression d’être face à un mur et de ne pas savoir par quel bout prendre les choses.
Voici une longue liste d’éléments pour vous aider !
Vous avez aussi une version vidéo de l’article ci-dessous :
La première erreur sera certainement de se précipiter sur vos plugins d’effets. Distorsion, réverbe, ça donne tout de suite de la couleur. On esquisse un sourire de satisfaction, mais rapidement votre mix devient un brouhaha incohérent. On n’y distingue plus rien.
On n’entend plus la basse…
PAS GRAVE ! Vous montez le volume de la basse.
Du coup, on n’entend plus la batterie…
PAS GRAVE ! On va rajouter 2 db à la batterie.
Ha mais oui, et le chant alors ? On ne distingue plus les paroles…
PAS GRAVE ! On va pousser le chant.
Tous les potars sont presque à fond, et le son est pourri.
Tous vos efforts lors des prises sont malheureusement réduits à néant.
Peut-être vous direz-vous que c’est certainement un problème matériel. Qu’il vous faut un arsenal de plugins à 500€ pièces.
J’ai commis cette erreur.
Du coup, j’ai investi dans du matos et des plugins, et j’ai laissé de côté les VST gratuits trouvés sur Internet.
La vérité, c’est que mon son ne s’était pas vraiment amélioré.
Du coup, j’ai investi dans des formations. J’ai progressé petit-à-petit et un nouveau monde s’est ouvert à moi.
Ha, c’est sûr ! Je ne suis pas Bob Ezrin, ni Martin Birch (chacun ses références…). Mais enfin mes mix actuels n’ont rien à voir avec les premiers. Et j’espère surtout que ceux de l’année prochaine seront encore meilleurs !
Si votre fabriquant ne fournit pas les gabarits, il peut vous fournir une charte graphique. Dans ce cas, il vous suffira d’entrer les dimensions dans le projet, et positionner vos règles. Voir la procédure dans la vidéo.
Chez Vocation Records par exemple, une fois votre commande validée, on vous fournit des gabarits. Ils correspondent bien entendu à votre projet. Ce ne sera pas le même si vous sortez un CD traditionnel, un digipack, un DVD traditionnel ou avec boîtier slim, etc…
Les gabarits fournis contiennent déjà certains calques, logos ou mentions obligatoires.
Là, 2 solutions :
soit vous utilisez ces gabarits pour construire votre pochette,
soit vous adaptez ce sur quoi vous avez déjà travaillé.
Dans ce dernier cas, faites attention à 2 choses : tout d’abord aux dimensions à adapter, et ensuite aux marges et traits de coupe. Conseil : gardez vos calques jusqu’à la fin. Ce sera plus facile d’effectuer des modifications.
Par exemple si votre fond est correct, mais que vos textes sont dans les limites, il sera pratique de changer uniquement le placement de ce texte.